Hep, les fans de Professeur Layton!

J'ai vu une vidéo qui m'a fait étouffer de rire et je veux la partager avec vous.

C'est marrant non?

Enjoy!

La Mandarine qui rit 

Jack et sa mécanique du coeuuur...

Résisteront-ils au bonheuuur...  

*fin de l'interlude*

Coucou vous!

Hier je suis allée voir ce film avec Mathie, et j'ai pu constater que les rumeurs à son sujet (sur le film, pas sur Mathie) disaient vrai.

Ce film est juste génial!

Jack est né le jour le plus froid du monde et son coeur en reste gelé. Le docteur Madeleine le sauve en remplaçant son coeur en panne par une horloge mécanique. Pour survivre, Jack doit respecter trois lois. Primo, ne jamais toucher à ses aiguilles. Secundo, maîtriser sa colère. Tretrio, surtout, SURTOUT, ne jamais tomber amoureux.

Cet imbécile de Jack ne va respecter aucune de ces trois règles: les autres enfants jouent avec ses aiguilles, ce qui va mettre Jack en colère, et, enfin il va tomber amoureux de Miss Acacia, une petite chanteuse de rue.

Comment va-t-il survivre?

Sûrement parce qu'il a de la chance.

Quatre ans passent.

Jack apprend que Miss Acacia est partie en Andalousie. Profitant d'un malheureux concours de circonstances, il s'élance à sa poursuite, accompagné de Georges Méliès, dans un fabuleux voyage... (mon Dieu! le correcteur orthographique ne connaît pas le nom de Méliès! shame on it.)

Ce film est magnifique du point de vue estét...esthé...esthétique. (un jour j'arriverai à l'écrire sans copier-coller de Google). Un mélange de Tim Burton et des illustrations de Rebecca Dautremer, un petit côté Hugo Cabret. D'après Saphi, les persos avaient "des visages de porcelaine", c'était "super raffiné et délicat". Ben je suis entièrement d'accord avec elle! C'était si beau.

Les musiques sont magnifiques, et comme le film est fait A PARTIR des chansons (et non l'inverse) elles s'incrustent dans le film comme des joyaux dans une couronne. C'est à se demander si le film lui-même n'est pas une grande chanson d'une heure et demie.

Le scénario est si émouvant, sauf la fin que j'ai trouvée particulièrement stupide, et j'ai versé des torrents de larmes  un peu pleuré pendant les trois-quarts du film   à la fin du film..... snif snif snif.

Mon perso préféré: J'ai un peu hésité avec Joe pour son côté classe et ténébreux, mais finalement j'ai choisi Méliès. Il est marrant, il arrive toujours à redonner de l'espoir, et il me fait rire avec ses yeux bleus et sa grande moustache  (je veux un Georges Méliès moi aussi). 

Et euh.....

.....

......

Bon ben ça va être tout pour aujourd'hui les amis (tiens ça rime)

Salut!

Perdule ou La Mandarine au coeur rafistolé 

Salut tout le monde!

Tout d'abord, j'espère que tous les amoureux ont eu une bonne St-Valentin! (une minute de silence pour tous les célibataires comme moi)

Ensuite, passons aux dessins.

Tadam!

C'est un p'tit chat aux pastels gras! et sinon le truc au milieu, c'est une maison.

J'aime bien dessiner au pastel, ça donne un côté livre-de-quand-j'étais-petite XD  

J'ai fini la version peinture à l'huile! :3 mais je vous la montrerai quand elle sera sèche.

Un Luffy au chapeau de paille, gribouillé pendant un certain cours d'allemand. ;)

Comme je le trouvais pas mal, je l'ai mis en couleurs, et voilà ce que ça donne:

Et on enchaîne avec un fanart de La Rose Ecarlate (bourré de fautes de proportions, en passant) inspiration Sleeping Beauty (of Disney)

Et on ferme le cortège avec un gribouillis rigolo:

Ah tiens, déjà 16:00... C'est l'heure du goûter et je suis atteinte d'une maladie hyper-rare qui fait que si je ne prends pas mon goûter à 16:00 précises j'ai des convulsions et je me mets à cracher du sang.

Enjoy!

Perdule ou La Mandarine affamée 

Coucou mes petits choux! Je vous ai manqué?

Tiens, un dessin, ça faisait longtemps.

Un petit truc agaçant qui m'arrive de plus en plus souvent, surtout dans les librairies... Faudra qu'y z'arrêtent sinon je vais plus acheter de livres :p

Bon et puis cette semaine j'avais prévu un autre dessin que celui-là mais cette anecdote me démangeait... j'ai pas pu résister T_T

Roh et puis bon, JE SAIS j'aurais dû inverser la position des deux persos mais j'avais pas ça en tête quand je l'ai gribouillé...

Sinon je suis allée au Salon du Manga à Porte de Versailles ce WE avec Mathie et une bande d'amies. Je n'ai hélas pas pris de photos mais je vous ferai un petit compte-rendu, avec peut-être quelques dessins, qui sait?

Ah et puis avant que j'oublie: MILLES EXCUSES au Divan Jeunesse dont j'ai raté deux fois le club de lecture dimanche dernier et celui d'avant... Je n'ai aucune excuse (milles excuses, je n'ai aucune excuse, mais où est la logique?) dire que j'avais promis...

Bon et puis je suis à court de c_n_e_i_s (jouons au pendu, tiens) pour aujourd'hui, c'est bête hein?

Donc, je vous dis au revoir mes petits choux! (Mr 2, de Baroque Works) (faut que j'arrête avec One Piece.)

Salut!

Perdule ou la Mandarine travestie 

    Salut tout le monde!

   Eh oui, je suis toujours vivante, même si de loin on aurait pu croire que non.

   Bref! voilà l'article promis sur le roman Une demoiselle de Éléonora Marangoni, inspiré du roman     de Irène Némirovsky,appelé Le Bal. (c'est bon vous êtes pas perdus?)

  Voilà la merveille!

   Paris, 1928.

      Antoinette a à présent 14 ans. C'est une fille de bourgeois un peu étriqués.    Elle ne dit rien, a un avis sur tout et écrit tout dans son journal. Elle rêve de se lancer dans la vie    et de rencontrer "Le Grand Amour."

   Cette chanson de la merveille cinématographique "La Reine Des Neiges" (il faut absolument voir    ce film sinon vous avez raté votre hiver) illustre assez bien la joie qu'éprouve l'héroïne quand sa      mère annonce qu'un bal va être donné à la maison!

   Antoinette est, comme Anna, très impatiente à l'idée de voir des gens, d'entrer dans la société        des adultes et surtout de rencontrer l'Amûûr.

   Mais sa mère n'en n'a point décidé ainsi: non seulement elle refuse que sa fille participe au bal,      mais en plus elle veut qu'elle l'aide à préparer la fête! La pauvre est mortifiée.

 Elle prépare alors une vengeance horrible. Atroce.

   J'ai explosé de rire à la fin. Tellement sa vengeance est immonde. Les illus de Babeth sont à la        fois simples et élégantes, et vont très bien avec l'écriture d'Antoinette. L'écriture en question          rappelle vaguement celle de Calpurnia  (voir article à propos), et décrit le regard acéré que            l'héroïne porte sur le monde bourgeois et mesquin qui l'entoure. 

     Un chouette roman assez court, bien écrit et bien illustré. A lire!

        La Mandarine qui va fêteer  ce renouuveauuu...